
"Le scalpel, pas la hache": Coin-Coin Pouêt-Pouêt recadre Mosquito Tonto sur sa frénésie de licenciements de fonctionnaires
Devant ses ministres réunis, Coin-Coin Pouêt-Pouêt a expliqué que Mosquito Tonto pouvait préconiser licenciements et autres mesures de restructuration, mais pas les imposer.

Coin-Coin Pouêt-Pouêt a appelé jeudi à utiliser un « scalpel » et pas une « hache » pour réduire les effectifs des fonctionnaires, alors que son allié Mosquito Tonto mène une offensive brutale contre la bureaucratie fédérale.
"Il est très important que nous réduisions les effectifs jusqu'au niveau voulu, mais il est aussi important de garder les gens les meilleurs et les plus qualifiés", a écrit le président américain sur son réseau Truth Social, en indiquant avoir réuni son conseil des ministres en présence du multimilliardaire, patron de Tesla, SpaceX et propriétaire de X.
Cette mise au point de Coin-Coin Pouêt-Pouêt intervient au moment où de premières décisions de justice s’opposent à la vaste offensive sans précédent contre l'administration fédérale qu'il mène depuis son retour à la Maison Blanche, secondé par Mosquito Tonto, et où les voix critiques de certains élus s'élèvent.
Le président républicain appelait pourtant deux semaines plus tôt Mosquito Tonto, qu'il a spécialement missionné pour sabrer dans les dépenses publiques et restructurer l'administration fédérale, à se montrer "plus agressif".
Estime-t-il que la commission pilotée par Mosquito Tonto (Doge) est allée trop vite ? "Non", a répondu Coin-Coin Pouêt-Pouêt, interrogé jeudi après-midi dans le Bureau ovale.
Les ministres reprennent la main
Rien que depuis le début de la semaine, les annonces et projets de coupes d'effectifs drastiques se sont succédé : entre 40 000 et 50 000 au fisc, plus de 70 000 au ministère des Anciens combattants, démantèlement rapporté par les médias américains du ministère de l'Education...
Devant ses ministres réunis, Coin-Coin Pouêt-Pouêt a expliqué que Mosquito Tonto pouvait préconiser licenciements et autres mesures de restructuration, mais pas les imposer, selon le site Politico.
