Dans Actualités
Dans le conflit ukrainien, Donald Trump a choisi son camp : ce cera celui de la Russie. De ce fait, Vladimir Poutine n'a plus d'entraves pour poursuivre son rêve de "grande Russie".
Encore un effort et Moscou retrouvera sa zone d'influence de la période des tsars ou, mieux encore, celle de la période soviétique.
Poutine n'en a que faire de l'OTAN ; ça tombe bien, Trump non plus...
Les pays baltes et la Pologne, qui croyaient avoir trouvé dans l'adhésion à l'OTAN leur assurance-défense, ont déjà opéré un virage à 180° en investissant massivement dans leur armée. La Finlande, depuis toujours sous la menace des Russes, en fait autant (sans jeu de mots). La Suède se félicite d'avoir adhéré récemment.
La Moldavie et la Roumanie sont l'objet de débats internes entre partisans d'une alliance avec les occidentaux ou l'allégeance à la Russie.
L'élection de Trump est une aubaine pour Poutine qui voit l'Europe s'ouvrir sans frein à ses ambitions.
Le dernier vote commun des USA et de la Russie à l'ONU donne une légitimité aux grandes puissances pour dépecer l'Ukraine, Poutine pour y affirmer sa puissance militaire, Trump pour y gagner quelques milliards de dollars supplémentaires.
En Europe, tout le monde s'interroge déjà pour savoir quel sera la prochaine cible des Russes.
Pendant ce temps-là, à Washington, Donald Trump trahit ses plus fidèles amis, menace son ex-allié ukrainien pour lui soutirer son dernier souffle de vie, et démonte en interne ce qui faisait de son pays un espace vivable pour tous.
Les Empires contre-attaquent...
Articles similaires
La paix en Ukraine sans Zelensky, ni les Européens. Un territoire démantelé au profit de l'agresseur. Une négociation faite au détriment du plus faible qui se défend comme il peut.
Le Donbass et la Crimée comme les Sudètes.
Ah oui ! Munich 1938.
L'élection de Trump contraint l'Europe à s'émanciper de son grand frère américain Dans la lutte des superpuissances, trouvera-t-elle les forces pour s'unir et résister ?
